Réflexion catholique pour aujourd’hui : Dieu prête-t-Il l’oreille à ceux qui prient régulièrement le chapelet ?
Je suis née dans une famille catholique et, dès mon plus jeune âge, j’ai observé toutes sortes de rituels religieux avec mes parents. Parmi eux, c’était les prières qui me laissaient la plus profonde impression. Le chapelet était la prière la plus fondamentale pour nous, catholiques, et nous le récitions chaque soir. D’abord, nous accrochions un pendentif en forme de croix perlée à un doigt tout en faisant le signe de croix et en récitant le Credo des Apôtres ; nous récitions une fois le Notre Père, dix fois l’Ave Maria et une fois le Gloria Patri. Nous annoncions le mystère du rosaire à la première dizaine, puis nous récitions les deuxième, troisième et quatrième dizaines, et le mystère du rosaire à la cinquième. Après cela, nous récitions le Salve Regina. Ces prières étaient vraiment longues – tout faire n’était pas facile.
La neuvaine est une autre prière catholique. Elle se déroule sur neuf jours avec une seule intention en tête. Le but est de se voir accorder l’aide de Dieu. Nous avions un guide qui contenait différentes prières pour différentes intentions. Avant de prier, nous concentrions nos pensées sur ce que nous espérions, puis nous trouvions la bonne prière à réciter. Une fois la prière terminée, nous récitions le Notre Père, l’Ave Maria, le Gloria Patri, puis nous terminions par une contemplation silencieuse et une prière finale. C’était aussi très difficile de terminer une neuvaine, et je me sentais toujours très pieuse quand j’y arrivais. Mais avec le temps, j’ai constaté que la plupart des choses que j’espérais ne se produisaient pas, et j’ai commencé à être perplexe. N’avait-on pas dit qu’il suffisait de faire ces prières neuf jours de suite avec une intention en tête pour qu’elle se réalise ? Pourquoi aucun de mes espoirs ne se réalisait-il ? Et puisqu’ils ne se réalisaient pas, pourquoi est-ce que je continuais à faire cette prière ? J’ai commencé à me sentir réticente à l’idée d’accomplir ces prières, mais tous les autres membres de l’église continuaient à les faire, alors je n’avais pas d’autre choix que de les suivre.
Il y avait aussi la procession du rosaire qui nous obligeait à nous lever à 3 heures du matin pour porter une statue de Marie de maison en maison où, chaque fois, nous devions nous agenouiller et prier pendant une heure, en répétant ces prières en continu. En fait, je n’avais pas du tout envie d’y participer. D’une part, c’était épuisant, j’avais vraiment sommeil, et d’autre part, je me sentais perdue : pourquoi ne pas prier directement Dieu, au lieu de la Vierge Marie ? Mais mes parents m’ont dit : « Le Seigneur Jésus est le Fils saint et Marie est la Mère sainte, alors chaque fois que nous voulons demander quelque chose au Seigneur Jésus, nous devons d’abord le demander à Marie et elle le demandera en notre nom. Ensuite, la demande pourra être exaucée. » Je trouvais cette explication un peu farfelue, mais je me suis dit que c’était la règle du catholicisme et que je ne voulais pas l’enfreindre et être ensuite condamnée par Dieu. J’ai donc suivi le mouvement et j’ai continué à le faire. Puis quelque chose d’étrange s’est produit pendant l’une de nos processions du rosaire…
C’était très tôt le matin, et comme toujours, nous avons porté la statue de Marie dans la maison d’un membre de l’église. Certains d’entre nous récitaient le chapelet dans sa maison tandis que d’autres priaient à l’extérieur. C’est alors que quelque chose de tragique s’est produit : la maison, qui avait un étage, s’est effondrée. Le plancher a cédé, écrasant le propriétaire de la maison et quelques autres personnes. J’étais juste devant la porte d’entrée lorsque cela s’est produit, et heureusement, j’ai échappé de justesse à la catastrophe. Témoin de cette scène horrible, je me suis sentie à la fois effrayée et confuse. Nous étions en train d’adorer Dieu, de Le prier, alors pourquoi avait-Il laissé cela se produire ? N’était-Il pas satisfait de nos prières ? Craignant que quelque chose comme cela ne se reproduise, je n’ai plus jamais participé à la procession du rosaire, me contentant en revanche de réciter la prière toute seule.
Puis un jour, pendant mes dévotions, j’ai lu ces versets : « Et lorsque vous priez, ne soyez pas comme les hypocrites, qui aiment à prier debout dans les synagogues et au coin des rues, afin d’être vus des hommes ; en vérité, je vous le dis, ils ont reçu leur récompense. Pour toi, quand tu veux prier, entre dans ta chambre et, ayant fermé ta porte, prie ton Père qui est présent dans le secret ; et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra. Dans vos prières, ne multipliez pas les paroles, comme font les païens, qui s’imaginent devoir être exaucés à force de paroles » (Matthieu 6:5-7). J’ai bien réfléchi à cela. Dieu nous dit de ne pas être comme les hypocrites, en priant juste pour que les autres entendent, mais nous devons prier Dieu du fond du cœur. De plus, Dieu ne veut plus entendre des prières interminables. J’ai repensé à toutes ces années passées à réciter des prières. Même si elles prenaient beaucoup de temps, dire les mêmes mots encore et encore chaque jour, c’était vraiment juste réciter quelque chose de mémoire. J’ai aussi pensé à cette chose tragique qui s’était produite pendant la procession du rosaire, et je me suis dit que Dieu ne devait pas aimer ce que nous faisions. Sinon, pourquoi ne nous aurait-Il pas protégés pendant notre prière ? Je me suis dit que j’avais peut-être été égarée. J’ai donc décidé d’arrêter de répéter les prières du rosaire, mais de continuer à faire le Notre Père une fois, deux dizaines d’Ave Maria, puis de prier simplement au nom du Seigneur Jésus.
Malgré cela, je ne me sentais toujours pas émue par Dieu, mais très éloignée de Lui. Un jour, au cours d’une séance de dévotion, j’ai vu la mention d’une prière de jeûne dans les Écritures, alors j’ai pensé que je pourrais exprimer ma révérence envers Dieu en jeûnant, et en même temps Lui demander de m’aider à trouver un bon emploi. Or, chaque fois que je terminais ma prière de jeûne, tout ce qui me restait était un estomac vide et un mal de tête. J’ai continué ainsi pendant plusieurs mois, mais je ne me sentais toujours pas touchée par Dieu et ma situation professionnelle est restée la même. Et comme je m’affaiblissais physiquement et que je tombais souvent malade, j’ai cessé de jeûner. À l’époque, je n’arrivais pas à comprendre ce qui se passait : pourquoi Dieu n’entendait-Il pas mes prières, alors que je faisais tant de sacrifices ? Dieu m’avait-Il vraiment rejetée ? Je ressentais de plus en plus de ténèbres et de vide dans mon cœur, et ma foi s’effritait.
Puis, en 2017, j’ai rencontré des frères et sœurs de l’Église de Dieu Tout-Puissant sur Facebook. Ils m’ont annoncé que le Seigneur est déjà revenu, qu’Il est le Dieu Tout-Puissant incarné. Ils ont également dit qu’Il a exprimé des vérités et fait une nouvelle étape de travail, donc la seule façon d’obtenir l’œuvre du Saint-Esprit est de prier au nom de Dieu Tout-Puissant. Sinon, peu importe comment nous prions, cela ne servira à rien. C’est exactement comme lorsque le Seigneur Jésus est venu travailler - Dieu n’entendait pas les prières adressées à Yahweh, et les gens ne pouvaient pas obtenir l’illumination et l’éclairage du Saint-Esprit de cette façon. Seuls ceux qui acceptaient l’œuvre du Seigneur Jésus et priaient en Son nom pouvaient sentir Dieu à leurs côtés et bénéficier de Ses bénédictions et de Sa grâce.
Après avoir écouté l’échange des frères et sœurs, j’ai réalisé que Dieu était revenu avec un nouveau nom. Je continuais à prier le Seigneur Jésus, c’est pour cela que je ne pouvais obtenir l’œuvre du Saint-Esprit. Mais je ne savais toujours pas exactement ce qu’il en était de toutes mes prières passées qui n’étaient pas en accord avec la volonté de Dieu. Puis un jour, j’ai lu ces paroles de Dieu : « La plupart des gens croient qu’une vie spirituelle normale implique nécessairement qu’il faut prier, chanter des hymnes, manger et boire les paroles de Dieu ou méditer Ses paroles, peu importe que ces pratiques, effectivement, aient un effet ou conduisent à une véritable compréhension. Ces gens se dévouent à suivre des procédures superficielles sans penser aucunement à leurs résultats ; ce sont des gens qui vivent selon les rituels religieux, et non pas des gens qui vivent dans l’Église, et encore moins sont-ils des gens du royaume. Prier, chanter des hymnes et manger et boire les paroles de Dieu, ce n’est qu’obéir aux règles par compulsion et pour suivre les tendances, non librement et avec le cœur. Que ces gens prient ou chantent peu ou beaucoup, leurs efforts ne portent aucun fruit, car ils ne mettent en pratique que les règles et les rites de la religion ; ils ne mettent pas réellement les paroles de Dieu en pratique. Ils sont uniquement portés à faire des histoires sur leur manière de pratiquer, et ils traitent les paroles de Dieu comme des règles à suivre. De telles gens ne mettent pas les paroles de Dieu en pratique ; ils font plaisir à la chair, c’est tout, et ils jouent un rôle pour se faire remarquer. Toutes ces règles et tous ces rituels religieux sont d’origine humaine ; ils ne viennent pas de Dieu. Dieu ne suit pas de règles ni n’est soumis à aucune loi. Au contraire, il fait de nouvelles choses chaque jour, accomplissant une œuvre pratique. Comme les gens de l’Église des Trois-Autonomies qui se limitent à des pratiques comme assister aux services du matin tous les jours, faire des prières du soir et des prières de gratitude avant les repas, rendre grâce en toutes choses, qu’ils accomplissent beaucoup ou peu, qu’ils y consacrent beaucoup de temps ou non, ils n’auront pas l’œuvre du Saint-Esprit. Quand les gens vivent selon des règles et ont leur cœur fixé sur les méthodes de pratique, le Saint-Esprit ne peut pas œuvrer, car leur cœur est occupé par des règles et des notions humaines. Ainsi, Dieu ne peut pas intervenir et œuvrer en eux, et ils peuvent seulement continuer à vivre sous l’autorité des lois. De telles gens sont pour toujours incapables de recevoir la louange de Dieu. »
Ce n’est que lorsque j’ai lu ce passage que j’ai réalisé que toutes ces prières infructueuses ne faisaient que suivre le mouvement, qu’elles n’étaient rien de plus que des règles et des rituels religieux. Ce n’est pas le genre de prière que Dieu veut. J’ai pensé à tous ces chapelets, neuvaines, processions du Rosaire et prières de jeûne que j’avais faits. Je concentrais mon effort sur le processus sans penser à son efficacité – je ne faisais qu’observer des rituels. Plus tard, j’ai eu des doutes sur ces rituels de prière et je ne voulais pas vraiment continuer à les faire, mais je voyais tous les autres membres de l’église les faire et ils disaient que c’était ce que Dieu voulait, alors j’ai suivi. Après les avoir pratiqués pendant toutes ces années, non seulement je ne ressentais pas la paix et la joie dans mon cœur, mais c’était de plus en plus fatigant, et je m’éloignais de Dieu. Cette lecture a été une véritable prise de conscience pour moi : Dieu n’apprécie pas ces prières rituelles, et peu importe combien quelqu’un peut les faire, il n’obtiendra jamais le travail du Saint-Esprit de cette façon. J’ai eu l’impression d’avoir été vraiment stupide.
Plus tard, j’ai lu quelques autres passages des paroles de Dieu Tout-Puissant sur la prière. Dieu Tout-Puissant dit : « Une vie spirituelle normale est une vie vécue devant Dieu. Lorsque l’on prie, on peut calmer son cœur devant Dieu et, par la prière, on peut chercher l’éclairage du Saint-Esprit, connaître les paroles de Dieu et comprendre la volonté de Dieu. » « La prière n’est pas une question de simples formalités, de procédure à suivre, ou de paroles de Dieu à réciter. En fait, prier, ce n’est pas répéter bêtement certaines paroles et ce n’est pas imiter les autres. Dans la prière, il faut atteindre l’état où son cœur peut être donné à Dieu, où l’on ouvre son cœur pour qu’il puisse être touché par Dieu. »
Les paroles de Dieu étaient édifiantes. Prier ne consiste pas à faire des gestes, à suivre une procédure ou à réciter les paroles de Dieu. Il s’agit d’obtenir plus d’éclairage et d’illumination de la part du Saint-Esprit, et de comprendre la volonté et les exigences de Dieu. J’ai pensé à moi. J’avais toujours suivi toutes les pratiques catholiques de la prière, et chaque fois que je priais, je disais les mêmes choses. Après avoir terminé, je ne me suis jamais sentie touchée par Dieu. Mes jambes étaient simplement fatiguées et douloureuses, et parfois j’avais envie que tout soit terminé juste après avoir commencé. Je ne faisais que répéter les mêmes gestes pour chaque prière. Cela m’a fait penser à ce verset de la Bible : « Dieu est esprit, et ceux qui l’adorent doivent l’adorer en esprit et en vérité » (Jean 4:24). Dieu ne Se soucie pas de savoir combien nous parlons dans la prière ou combien de temps nous parlons, mais Il exige que nous Le prions avec un cœur sincère afin que nous puissions comprendre Ses paroles. En réalisant cela, j’ai encore mieux compris que les façons dont j’avais prié dans le passé n’étaient pas conformes à la volonté de Dieu.
Il y a un autre passage des paroles de Dieu que j’ai lu : « Qu’est-ce qu’une vraie prière ? C’est dire à Dieu ce qui est dans ton cœur, communier avec Dieu en ayant saisi Sa volonté, communiquer avec Dieu au travers de Ses paroles, te sentir particulièrement proche de Dieu, sentir qu’Il est là, devant toi, et croire que tu as quelque chose à Lui dire. Ton cœur donne l’impression d’être rempli de lumière et tu sens combien Dieu est adorable. Tu te sens particulièrement inspiré et t’écouter apporte de la satisfaction à tes frères et sœurs. Ils auront le sentiment que les paroles que tu prononces sont les paroles qu’il y a dans leur cœur, les paroles qu’ils veulent dire, comme si tes paroles étaient un substitut des leurs. Voilà ce qu’est la vraie prière. » « Quand tu pries, ton cœur doit être en silence devant Dieu, et il doit être sincère. Tu communies et pries véritablement avec Dieu ; tu ne dois pas tenter d’amadouer Dieu avec de belles paroles. La prière doit être centrée autour de ce que Dieu veut réaliser aujourd’hui. Demande à Dieu de t’apporter un plus grand éclairage et une plus grande illumination, présente ton état actuel et tes problèmes devant Dieu quand tu pries, y compris la résolution que tu as prise devant Dieu. La prière n’est pas l’observation d’une procédure, mais la recherche de Dieu en utilisant un cœur sincère. Demande à Dieu de protéger ton cœur pour que ton cœur puisse souvent être en silence devant Dieu, pour que dans l’environnement où Il t’a placé, tu te connaisses, te méprises et t’abandonnes, te permettant ainsi d’avoir une relation normale avec Dieu et de devenir vraiment quelqu’un qui aime Dieu. »
J’ai vu que la vraie prière consiste à parler à Dieu avec son cœur. C’est s’ouvrir à Dieu sur les choses qui nous préoccupent, y compris les difficultés auxquelles nous sommes confrontés. Nous devrions prier pour qu’Il nous guide et nous éclaire, afin que nous puissions reconnaître notre propre corruption. Ce n’est qu’ainsi que Dieu nous éclairera pour comprendre Sa volonté. En repensant à la façon dont j’avais prié auparavant, je me suis sentie encore plus embarrassée. Chaque fois que je priais, je ne faisais que réciter des prières, sans partager avec Dieu ce que j’avais sur le cœur. Je n’étais pas non plus raisonnable lorsque je priais, mais je demandais simplement à Dieu Sa grâce, je Lui demandais de me donner une bonne vie, et ainsi de suite. C’était toujours pour ma propre personne, jamais pour obtenir l’illumination de Dieu ou pour me débarrasser du péché. Je me suis souvenue de quelque chose que le Seigneur Jésus a dit : « Ne vous mettez donc point en peine, disant : que mangerons-nous ou que boirons-nous, ou de quoi nous vêtirons-nous ? c’est de tout cela en effet que les païens sont en quête, car votre Père céleste sait que vous avez besoin de tout cela. Cherchez premièrement le royaume [de Dieu] et sa justice, et tout cela vous sera donné en plus » (Matthieu 6:31-33). Le Seigneur Jésus nous a enseigné il y a longtemps de ne pas penser à des choses comme notre nourriture ou nos vêtements – Dieu préparera toutes ces choses pour nous. Mais je priais toujours pour ma vie charnelle, et non pour ma vie spirituelle. Ce genre de prière n’était pas du tout en accord avec la volonté de Dieu. Je disais aussi des choses dans la prière qui semblaient agréables, mais c’était malhonnête envers Dieu. Lorsque je n’arrivais pas à m’empêcher de pécher, j’avais l’impression que Dieu m’avait abandonnée. Je demandais pardon à Dieu et je disais que je ne recommencerais jamais, mais je savais que ma stature était trop petite et que je ne pouvais pas triompher du péché. Je recommençais, mais je ne partageais jamais mon cœur avec Dieu. Je comprenais maintenant que, mes prières ne venaient pas du cœur, mais qu’elles étaient vides et fausses. Je devais prier Dieu au sujet de mes luttes contre les péchés que je ne pouvais pas m’empêcher de commettre et Lui demander de m’aider à comprendre mes propres méfaits, afin qu’Il puisse me guider pour me libérer de l’esclavage du péché.
À partir de ce moment-là, j’ai commencé à mettre en pratique toutes les paroles de Dieu. Chaque fois que je rencontrais quelque chose dans ma vie, je disais une prière sincère à Dieu et je cherchais Sa volonté. Cela n’avait plus rien de fastidieux, j’éprouvais un sentiment de calme et de paix après chaque prière. J’avais toujours l’impression d’avoir quelque chose à dire à Dieu. Mes anciennes prières étaient toujours fatigantes et ennuyeuses pour moi, mais avec cette nouvelle façon de prier, je pouvais vraiment y prendre plaisir. Je suis devenue capable de calmer mon cœur devant Dieu, et je ne me sentais plus épuisée ou ennuyée. À chaque fois que je rencontrais un problème ou une difficulté, tant que je cherchais la volonté de Dieu, que je me soumettais à Sa règle, à Ses dispositions, je pouvais voir Sa direction et comprendre Sa volonté graduellement. Je suis si reconnaissante envers Dieu de m’avoir montré ce qu’est la vraie prière – maintenant je suis libérée des contraintes des règles et rituels religieux. En priant Dieu sincèrement, je bénéficie de l’éclairage et de l’inspiration du Saint-Esprit et je me rapproche de plus en plus de Dieu. Merci à Dieu !