La parole de Dieu du jour : Les trois étapes de l'œuvre | Extrait 22
L’œuvre que Jésus a réalisée était conforme aux besoins de l’homme à cette ère. Sa tâche était de racheter l’humanité, de lui pardonner ses péchés, et ainsi, tout Son tempérament était humilité, patience, amour, piété, tolérance, miséricorde et bienveillance. Il a apporté grâce et bénédictions en abondance à l’humanité, et toutes les choses dont les hommes pouvaient effectivement jouir ; Il les leur donna pour leur plaisir : paix et bonheur, Sa tolérance et Son amour, Sa miséricorde et Sa bienveillance. À cette époque-là, le nombre important de plaisirs auxquels les hommes étaient confrontés – le sentiment de paix et de sécurité intérieures, l’impression d’apaisement dans leur esprit et leur dépendance à l’égard de Jésus le Sauveur – ont peuplé toute l’ère dans laquelle ils vivaient. À l’ère de la Grâce, l’homme avait déjà été corrompu par Satan. Ainsi, afin de pouvoir produire un effet, réussir l’œuvre de rédemption de toute l’humanité exigeait de la grâce en abondance, une tolérance et une patience infinies, et plus encore, une offrande appropriée pour expier les péchés de l’humanité. Ce que l’humanité a vu à l’ère de la Grâce était simplement Mon offrande pour l’expiation des péchés de l’humanité : Jésus. Tout ce que les hommes savaient, c’était que Dieu pouvait être miséricordieux et tolérant, et tout ce qu’ils voyaient était la miséricorde et la bienveillance de Jésus. Tout cela était ainsi parce qu’ils étaient nés à l’ère de la Grâce. Et par conséquent, avant de pouvoir être rachetés, ils devaient jouir de la diversité des grâces accordées par Jésus afin d’en tirer profit. De cette façon, leurs péchés pouvaient leur être pardonnés par la jouissance de la grâce et ils pouvaient aussi avoir la chance d’être rachetés en jouissant de la tolérance et de la patience de Jésus. Ce n’est que par la tolérance et la patience de Jésus qu’ils ont acquis le droit de recevoir le pardon et de jouir de la grâce abondante accordée par Jésus. Tout comme Jésus l’a dit : Je suis venu racheter non pas les justes, mais les pécheurs, afin de permettre aux pécheurs d’avoir leurs péchés pardonnés. Si, en prenant chair, Jésus avait apporté un tempérament de jugement, de malédiction et d’intolérance envers les offenses de l’homme, alors l’homme n’aurait jamais eu la chance d’être racheté et serait resté pécheur à jamais. Si cela avait été ainsi, le plan de gestion de six mille ans aurait pris fin à l’ère de la Loi, et l’ère de la Loi aurait été prolongée de six mille ans. Les péchés de l’homme se seraient multipliés et aggravés, et la création de l’humanité n’aurait servi à rien. Les hommes auraient seulement été capables de servir l’Éternel conformément à la loi, mais leurs péchés auraient dépassé ceux des premiers humains créés. Plus Jésus aimait les hommes, leur pardonnant leurs péchés et leur apportant suffisamment de miséricorde et de bienveillance, plus les hommes pouvaient être sauvés par Jésus, être appelés les brebis égarées que Jésus avait ramenées avec grand effort. Satan ne pouvait s’immiscer dans cette œuvre, car Jésus S’occupait de Ses disciples comme une mère aimante s’occupe de l’enfant contre son sein. Il n’est pas devenu furieux ni dédaigneux envers eux, mais Se montrait totalement rassurant ; Il ne S’est jamais emporté au milieu d’eux, mais a supporté leurs péchés et ignoré leur sottise et leur ignorance, au point de dire : « Pardonnez aux autres jusqu’à soixante-dix fois sept fois ». Ainsi, les hommes eurent le cœur transformé par Son cœur, et ce n’est qu’ainsi qu’ils obtinrent le pardon de leurs péchés par Sa tolérance.
Extrait de « La véritable histoire de l’œuvre de l’ère de la Rédemption », dans La Parole apparaît dans la chair